Le chassis est terminé, la carrosserie est peinte, le remontage peut donc commencer!
La première étape consiste bien entendu à reposer la caisse sur le chassis.
Ensuite, avant de pouvoir passer à la remise en place des divers éléments de carrosserie, qui ont été peints séparément, une phase importante consistera à reconsituer l'ensemble du faisceau électrique.
Les vitrages recevront bien entendu des joints neufs.
A l'arrière, les vitres latérales sont réalisées sur mesure en macrolon (sorte de plexiglass inrayable, incassable et anti UV).
A l'origine, les versions Savane n'avaient qu'un rideau de toile pour habiller la partie arrière. Ce rideau est reproduit en toile vinyle, plus résistante et moins salissante, avec des vitres en dessous, afin d'améliorer le confort sonore, de limiter les entrées de poussière, et d'avoir une meilleure protection contre le vol.
Les pare chocs, à l'origine chromés, seront peints de la même couleur que le toit et les jantes.
Pose de la caisse sur le chassis:
Plusieurs méthodes sont possibles pour faire l'assemblage, le tout étant de parvenir à lever la caisse suffisamment haut pour glisser le chassis dessous.
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Tableau de bord, direction, et commande de boite :
Le tableau de bord est monté à blanc pour vérifier que tous les supports sont corrects.
Montage du moteur et de la tringlerie d'essuie glaces, avant de rééquiper le tableau de bord: compteurs, jonc enjoliveur et tirettes.
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Une fois le tableau remonté, mise en place de la colonne de direction et le volant, ainsi que de la commande de boite de vitesses.
Il faut à présent régler les biellettes pour que les rapports passent sans difficulté, et que le levier au point mort soit dans la position première-seconde.
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Les biellettes sont réaccouplées aux leviers de commande, puis réglées.
Un ressort de rappel en position "haute" du levier est ajouté pour plus de précision et de confort dans le passage des vitesses.
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La position du levier au point mort.
Le passage de vitesses, réputé "viril" mais flou à la fois, me semble au contraire assez facile après le réglage très soigneux des biellettes.
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Habillage du plancher et fixation des sièges:
Il faut en premier lieu assurer fixation des sièges.
Après avoir défini la meilleure position, des trous de fixation pour les supports sont percés.
Les quatre trous filetés latéraux du plancher sont bien sûr réutilisés. Les autres sont percés au niveau des renforts, pour assurer une rigidité maximale.
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Un tapis en caoutchouc strié est découpé à la forme exacte du plancher.
Les sièges seront fixés directement dessus sans découpe.
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Les supports sont peints et boulonnés à leur place.
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Les deux sièges sont fixés.
Le siège conducteur, réglable en hauteur, est très confortable et offre un bon maintien.
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Mise en place des vitres latérales:
Après avoir fabriqué un gabarit en papier, les deux plaques de macrolon sont découpées.
Le joint est collé puis positionné sur la vitre.
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Les deux côtés sont posés sur la caisse, non sans mal.
Il ne reste à présent plus qu'à réaliser les rideaux en toile à capote.
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Habillage de la partie arrière :
Entre deux montages de "gros" éléments de carrosserie, et le câblage du circuit électrique, les petits accessoires sont placés sur la caisse.
Les éclaireurs de plaques sont ainsi mis en place, puis la goulotte de remplissage d'essence. Un joint en caoutchouc fin est intercalé entre la goulotte et l'aile.
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Après avoir posé les renforts intérieurs entre le chassis et la carrosserie, pose des supports des pare chocs de chaque côté.
Il faut encore peindre et monter les bananes.
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C'est au tour des feux arrières, neufs, d'être posés.
Cette partie de la carrosserie ayant été remplacée par une tôle neuve greffée à la place de celle d'origine, il faut d'abord percer les trous de fixation.
La mise en place du feu n'est ensuite qu'une formalité, avec le joint d'origine s'il vous plait ;-)
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Boite à gants :
D'origine en carton bouilli, elle est absente sur le tableau de bord qui a servi de base. Elle est refabriquée en tôle galvanisée.
Une belle tôle de 50x50, 1mm d'épaisseur, est coupée à la bonne largeur, 30 cms en l'occurence.
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Avec une belle plieuse (hum hum...), la partie principale est mise en forme. Elle consituera les deux faces horizontales et le fond.
Les deux côtés sont réalisés de la même manière, et présentés sur l'autre partie pour perçage et fixation à l'aide de boulons.
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Et voilà une belle boiboite :-) !
Mise en place sur le tableau de bord, il ne reste plus qu'à y poser un tapis caoutchouc antidérapant, le même que pour le plancher.
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Montage des portes et du hayon :
Pour commencer, mise en place des bananes de pare chocs arrière, puis du hayon.
Les deux ouvrants arrière séparés à l'origine, soudés ensemble pour former un hayon, se mettent parfaitement en place sur la caisse.
Des vérins modernes permettront une ouverture facile. Les charnières basses, devenues inutiles, sont malgré tout conservées pour servir de verrouillage. Cela sera bien utile en tout terrain pour soulager les charnières hautes et éviter les mouvements latéraux du hayon.
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Les portes avant sont mises en place, avec des axes neufs.
Elles n'ont aucun jeu et sont bien positionnées en hauteur comme en affleurement, mais sont toutes les deux un peu trop en arrière sur la caisse, ce qui nécessitera un réglage des charnières.
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Juste pour le plaisir, quelques photos d'ensemble !
Ca commence vraiment à ressembler à une voiture, non ?
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Mise en place des vérins de hayon :
Le poids du hayon empêche de le manœuvrer à la main, ses vérins sont donc immédiatement montés.
Fabrication des supports, de manière à pouvoir réutiliser les inserts filetés existants dans la caisse.
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Des vérins, comme neufs, sont récupérés à la casse sur un brave clio 3, dont le conducteur avait visiblement surestimé la tenue de route...
Leur longueur s'adapte parfaitement aux dimensions du hayon de colorale !
Les rotules plastique sont remplacées par en ensemble rotule/manchon métallique.
Hormis l'aspect un peu trop "moderne", le fonctionnement est très satisfaisant. Il faudra en revanche ajouter une sangle pour pouvoir récupérer le hayon quand il est en position ouverte...l'usage du tabouret étant pour l''instant indispensable !
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Habillage et montage de la face avant:
Les baguettes sont nettoyées à la laine d'acier et au polish, puis mises en place sur la face avant.
Les agrafes d'origine, trop difficiles à trouver en neuf dans une dimension convenant à ces baguettes, sont remplacées par des boulons/écrous nylstop.
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Pose d'une grille derrière la calandre. Absente à l'époque sur le colorale 4x4, celle ci évitera qu'une pierre projetée vienne endommager le radiateur. Le véhicule étant destiné à un usage en raid, c'est une précaution indispensable.
Montage à blanc sur les deux joues d'ailes, juste pour le plaisir de voir ce que ça donne !
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Montage des ailes arrières:
Encore une étape qui change l'aspect de la voiture de manière spectaculaire !
Après avoir mis en forme les joncs d'aile, et fait les découpes pour les boulons de fixation, mise en place des ailes.
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Pose du pare brise et de la lunette arrière:
Découpe et collage des joints neufs à la bonne longueur, puis mise en place sur la carrosserie.
L'opération n'est pas très complexe, mais nécessite d'être deux, merci Thierry pour le coup de main !
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Filtre à air:
La filtration d'air est un élément primordial sur piste et dans le sable, aussi cet aspect est il à soigner particulièrement.
Le filtre à air sec d'origine est conservé pour utilisation sur route, un second filtre à bain d'huile viendra le remplacer pour les conditions difficiles.
Après un décapage dans les règles et une peinture, le boitier est équipé de la mousse d'un filtre de Peugeot 305.
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Le filtre est monté comme sur les versions 2 roues motrices, contre le bac à batterie, il ne reste plus qu'à le connecter au carburateur.
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Le filtre à bain d'huile provient d'un camion Renault R2087, il est décapé et repeint.
Il faut à présent lui trouver une place sous le capot !
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Fabrication du support (pourquoi diable cet énorme marteau se glisse-t-il encore sur une photo ;-) ?) et mise en place sur la joue d'aile.
Le filtre est connecté au carburateur par un manchon caoutchouc de 2cv !
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Réparation du comodo Labinal :
Le comodo de commande des phares/klaxons est récupéré sur la caisse 2 roues motrices, celui du chassis 4x4 ayant trop souffert de l'incendie.
Electriquement fonctionnel, le comodo ne tenait plus que par un morceau de chaterton à la colonne de direction.
Le démontage des coques métalliques révèle que les "oreilles" de fixation sont en effet cassées.
Il faut donc recréer un ancrage solide en décalant les fixations vers l'intérieur, modifier les coques en fonction de ce déplacement, et repeindre le tout.
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Les oreilles de fixation, cassées des deux côtés, sont recréées.
Le décalage vers l'intérieur impose de découper (à la Dremel) les coques du comodo, celles ci venant buter contre la colonne de direction du fait du racourcissement effectué.
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Les coques modifiées sont décapées puis repeintes.
Le comodo est réassemblé, les fils placés dans une gaine thermorétractable, et le bouton de commande repeint de la même couleur que la carrosserie.
Il ne reste plus qu'à le remonter et à effectuer les branchements.
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Montage de la face avant :
Pour des raisons de sécurité, des feux supplémentaires sont montés sur la face avant. Ils serviront à la fois de veilleuses et de clignotants.
Le perçage d'une belle carrosserie avec une peinture toute neuve est toujours un grand moment de stress !
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Des phares longue portée et des klaxons vont à leur tour prendre leur place sur la face avant.
Les klaxons sont modifiés pour fonctionner en 12 volts.
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La fixation sur la plage avant est à soigner particulièrement, afin déviter les déserrages dûs aux vibrations.
La tôle est prise en sandwich entre les supports et des équerres fixées par dessous, sur les ferrures de pare chocs.
Les klaxons prennent leur place, puis les feux.
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Et la lumière fut :
Le faisceau électrique est entièrement reconstruit, et passé en 12 volts.
Afin d'obtenir un montage fiable et sûr, du fil "moderne" à gaine plastique est utilisé, et une protection par fusibles est mise en place. Un coupe circuit complète le montage.
Tant pour l'esthétique que pour la sécurité, du souplisseau plastique recouvre tous les conducteurs, des passe-fils sont mis en place à toutes les traversées de tôles, et le cheminement des gaines est étudié avec soin.
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Miracle, des choses s'allument à la mise du contact !
Le circuit de charge est fonctionnel, ainsi que les divers feux.
Seuls les plafonniers, les essuie glaces, et l'instrumentation de bord, restent à câbler.
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Montage des ailes avant et des phares:
Le montage des ailes avant a été retardé au maximum, afin d'avoir un accès plus facile au compartiment moteur.
Les interventions du côté passager étant terminées, la mise en place est maintenant possible.
Toutes les faces d'appui tôle sur tôle sont recouvertes d'un joint caoutchouc fin.
La partie horizontale de l'aile est positionnée.
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L'aile proprement dite est à son tour mise en place, avec des joncs d'aile aluminium, mis en forme au préalable.
L'opération est bien plus simple qu'à l'arrière, où le galbe des ailes avait nécessité un travail bien plus important sur les joncs.
Le changement est spectaculaire, l'auto ressemble tout à coup à un colorale !
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C'est très spacieux un passage de roue de colorale !
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Les cuvelages de phares, puis les optiques, sont remontés. Ceux ci, de fabrication récente Cibié, sont un peu moins galbés qu'à l'origine, mais offrent la possibilité de monter des ampoules modernes, type code européen.
Le cerclage chromé peut enfin être placé, c'est beau !
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Quelques photos d'ensemble permettent de visualiser la ligne générale.
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Une météo exécrable contraint à un repli stratégique dans le garage pour monter la seconde aile.
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Montage du capot :
L'intérieur du capot est garni d'un isolant thermique et phonique.
La béquille et le système de verrouillage sont remontés.
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Le réglage des charnières du capot se transforme en calvaire, mais le voilà enfin à sa place !
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Vitres des portes avant:
L'intérieur des portes est garni d'une feuille d'insonorisant goudronné.
Le joint de la vitre pivotante est mis en place, ainsi que le mécanisme de maintien, et le montant vertical.
Le cadre est bien sûr muni d'une coulisse de glace neuve.
Notez le système original de réglage du serrage de la charnière.
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La porte conducteur est terminée.
La vitre principale est en place, et coulisse parfaitement. Pour une meilleure finition, un joint lèche vitre est collé, qui masque de manière estéthique la jointure de tôle en haut de la porte.
La poignée est neuve, ça brille !
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Montage des essuie-glaces:
Le retour du beau temps permet de ressortir du garage pour monter le second phare et...les essuie-glaces !
Pour pouvoir utiliser des bras "classiques", modification des fixations: ajout d'une couronne crantée sur l'axe, perçage et goupillage.
Et voilà de beaux essuie-glaces.
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Juste pour le plaisir, une photo d'ensemble !
Derrière le colorale, les deux véhicules récents paraissent bien petits !
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Réfection et montage des pare-chocs:
Ah, les pare-chocs, toute une histoire !
Sauvables ou pas sauvables ? Chromage ou peinture ? Fromage ou dessert ?
Après redressage, décabossage, décapages et grattages divers de ce qui restait des pare-chocs, le résultat est correct, malgré quelques "cratères" créés par l'incendie du chassis.
En revanche, la difficulté à faire faire un chromage de qualité, et durable dans le temps, orientent finalement le choix vers la peinture.
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Un soupçon de mastic et plusieurs couches de peinture plus tard, ces pare-chocs sont finalement comme neufs !
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Mise en place des boulons de fixation et de la plaque d'immatriculation
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Et voilà !
Il ne manque plus que les bâches latérales et ce sera ter-mi-né !
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Devant !
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Derrière !
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Fabrication et pose des rideaux latéraux:
A l'origine, les versions Savane avaient un rideau en toile pour habiller la partie arrière. Ce rideau est reproduit en vinyle pour capotes de cabriolets, plus résistante et moins salissante.
La première opération consiste à positionner le rideau sur la carrosserie et d'en tracer les contours.
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Chaque rideau est percé de douze trous ovales, puis des oeillets y sont fixés. C'est très fastidieux !
Sur la carrosserie, les tourniquets sont fixés avec un joint en caoutchouc fin...c'est très très fastidieux !
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Le rideau est tenu par plusieurs baguettes en alu suivant la gouttière. Elles sont boulonnées sur la caisse, et de petites sangles en cuir destinées à maintenir roulé le rideau, quand il sera en position ouverte, y sont fixées.
Une fois le rideau posé, la position de chaque tourniquet est repérée. Puis la séance de perçage des 24 trous par côté commence. Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous...
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C'est terminé !
Cette fois ci, la carrosserie est bel et bien terminée !
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Maintenant, il va falloir s'occuper de l'intérieur, alors prochains épisodes dans la rubrique "intérieur" !
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